Par Aida Cherif :
Dans un petit pays comme le notre, l’existence d’un nombre important de ces gens là, et surtout s’ils forment l’élite de la Tunisie, représente un réel danger pour le devenir de cette société tunisienne où les inégalités sociales sont déjà existantes depuis des lustres et où le jeune universitaire qui n’arrive pas à décrocher son premier boulot est frustré de voir, des gens qui n’ont fait aucun effort menant la belle vie et lui qui a cravaché dur pour arriver, finalement n’arrive à rien du tout... (lire la suite...)
L'élite tunisienne ne serait plus la même de ce qu'elle était il y a seulement une trentaine d'années. Les gens les plus illustres et les plus influents dans notre pays, paraît-il, n'ont plus forcément la culture ni le savoir-vivre. Ajoutons à cela l'aggravation des inégalités sociales au sein d'une population instruite, consciente de ses droits et de ce qui se passe en Tunisie.
Découvrez dans l'article de cette semaine une chronique qui ne date pas d'aujourd'hui mais qui expliquerait quelque peu la vague des protestations de ces jours.
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